Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

être libre ou se sentir libre

16 septembre 2013

l'homme

Publicité
13 juin 2013

LE BIO (source Wikipédia)

 

L’agriculture biologique est une méthode de production agricole qui se caractérise par l'absence d'usage de la chimie de synthèse. Elle se veut le prolongement d'une agriculture traditionnelle millénaire qui a été presque totalement exempte d'intrants chimiques, à l'opposé de leur utilisation massive par l'agriculture industrielle et intensive depuis le XXe siècle. Cette méthode affirme mieux respecter le vivant et les cycles naturels1. Elle vise à gérer de façon globale la production en favorisant l'agrosystème mais aussi la biodiversité, les activités biologiques des sols et lescycles biologiques2. Il n'existe pas de données mettant en évidence un impact environnemental de cette forme d'agriculture vis-à-vis de toutes les autres, pour toutes les cultures et en tous lieux, dans certains cas c'est l'inverse3,4.

 

Pour atteindre les objectifs du label, les agriculteurs biologiques doivent respecter des cahiers des charges et des règlements qui excluent notamment l'usage d’engrais chimiques de synthèse et de pesticides de synthèse, ainsi que d'organismes génétiquement modifiés5.

 

Les agriculteurs qui pratiquent ce type d'agriculture misent, par exemple, sur la rotation des cultures, l'engrais vert, le compostage, la lutte biologique, l'utilisation de produits naturels comme lepurin d'ortie ou la bactérie Bacillus thuringiensis, et le sarclage mécanique pour maintenir la productivité des sols et le contrôle des maladies et des parasites.

 

Définie depuis les années 1920, l'agriculture biologique est organisée à l'échelle mondiale depuis 1972 (International Federation of Organic Agriculture Movements - IFOAM) et reconnue dans leCodex alimentarius depuis 1999. À ce titre, il s'agit de l'une des formes les plus anciennement organisées d'agriculture durable2. Au sein de ces dernières, l'agriculture biologique se caractérise notamment par le fait que l'épithète « biologique », ou son abréviation « bio » impliquent une certification attribuée correspondant à des normes et à des cahiers des charges, et que le mot est, souvent, légalement protégé. Plusieurs labels internationaux de reconnaissance pour ce type d'agriculture ont été définis.

 

Dans le monde, environ 37,5 millions d'hectares étaient consacrés à l'agriculture biologique en 20096.

ogm

13 juin 2013

le " 7 eme continent " (source M planéte)

Le 7e continent de plastique : ces tourbillons de déchets dans les océans

 

Le "7e continent de plastique". On le décrit comme une immense plaque de déchets évoluant dans le nord de l'océan Pacifique, de la taille d'un tiers des Etats-Unis ou de six fois la France. Aussitôt se forme à l'esprit l'image d'un gigantesque amas compact de sacs plastiques, bouteilles, filets et autres bidons...

En réalité, ce phénomène, qui effraye et fascine à la fois, ressemble plus à une "soupe de plastique" constituée de quelques macro déchets éparses, mais surtout d'une myriade de petits fragments. "L'image d'un continent sert à sensibiliser le grand public, mais ne rend pas compte de la réalité, explique François Galgani, océanographe et chercheur spécialiste des déchets à l'Institut français de recherche pour l'exploitation de la mer (Ifremer). Il s'agit plutôt d'une multitude de micro-plastiques, d'un diamètre inférieur à 5 mm, en suspension à la surface ou jusqu'à 30 mètres de profondeur, difficiles à voir de loin. Mais quand on puise dans l'eau, on en remonte une quantité impressionnante." Ce que confirme, dans cette vidéo, Isabelle Taupier-Letage, chef scientifique de l'expédition Tara Océans :

Cette pollution, invisible depuis l'espace, se retrouve dans cinq grand bassins océaniques, au sein du Pacifique Nord, mais aussi du Pacifique Sud, de l'Atlantique Nord et Sud et de l'océan Indien. Ces zones sont en effet caractérisées par la rencontre de courants marins qui, influencés par la rotation de la Terre, s'enroulent dans le sens des aiguilles d'une montre dans l'hémisphère nord, et en sens inverse dans l'hémisphère sud, selon le principe de la force de Coriolis, et forment d'immenses vortex appelés gyres océaniques. La force centripète aspire alors lentement, en plusieurs années, tous les détritus qui flottent sur l'eau vers le centre de la spirale, où ils s'amalgament et d'où ils ne sortent jamais.

D'immenses plaques de déchets flottent sur tous les océans du monde

"LA GRANDE POUBELLE DU PACIFIQUE"

La première plaque de déchets, et la plus importante, a été découverte par hasard par le navigateur Charles Moore en 1997. Au retour d'une course à la voile entre Los Angeles et Honolulu, l'explorateur avait décidé de prendre une route habituellement évitée par les marins, au centre de la gyre du Pacifique Nord, où les pressions sont hautes et les vents faibles. "Jour après jour, je ne voyais pas de dauphins, pas de baleines, pas de poissons, je ne voyais que du plastique", se souvient-il.

Débute alors sa lutte contre le plastique. Charles Moore met à contribution les scientifiques de son ONG, l'Algalita Marine Research Foundation, pour mettre au point une méthode de quantification des déchets en filtrant l'eau des océans. Sept expéditions sont menées dans cette zone de 3,4 millions de km2, que l'on surnomme rapidement le "Great Pacific Garbage Patch" (la "grande poubelle du Pacifique"). L'équipe y dénombre 334 271 fragments de plastique par km2 en moyenne, avec des pics à 969 777 fragments par km2. La masse de plastique y est six fois plus élevée que celle du plancton, pour un poids estimé de plusieurs dizaines de milliers de tonnes à plusieurs millions, selon différentes études, dont les modes de calcul et résultats divergent.

Afin de mieux connaître cette zone encore largement inexplorée, car trop vaste, une nouvelle expédition scientifique, française cette fois, est en préparation. Le skipper guyanais Patrick Deixonne, membre de la Société des explorateurs français et fondateur de l'entreprise d'expéditions Ocean Scientific Logistic, doit ainsi partir de San Diego d'ici à la fin mai pour un périple d'un mois et 2 500 milles entre la Californie et Hawaï. "Notre but est d'alerter sur la pollution sournoise en cours dans cette zone, qui s'avère très peu médiatisée en Europe", explique l'explorateur. Le bateau, une goélette des années 1930, sera guidé par des satellites pour se rendre là où la concentration de déchets est la plus forte afin d'en mesurer la densité, avec des prélèvements d'eau, de plancton et de fragments, puis de cartographier les zones polluées.

PLAQUES DE L'ATLANTIQUE ET DE LA MÉDITERRANÉE

Des recherches sont également menées dans les autres océans. En 2010, une nouvelle plaque de déchets, celle de l'Atlantique nord (The North Atlantic Garbage Patch), est découverte au large des Etats-Unis par une équipe de chercheurs de la Sea Education Association, une organisation privée de recherche, de la Woods Hole Oceanographic Institution, plus grand institut mondial privé d'études océanographiques à but non lucratif, et de l'université de Hawaï, dont les conclusions sont publiées dans la revue américaine Science. Résultat : dans cette zone, d'une taille comparable à celle de sa voisine du Pacifique, les eaux renferment jusqu'à 200 000 débris par km2."Le poids total des déchets ne dépasse toutefois pas les 1 100 tonnes de plastique", note François Galgani.

Des micro-fragments de plastiques collectés lors d'expéditions scientifiques dans le gyre de l'Atlantique nord.

Le chercheur est à l'origine d'une autre expédition, en Méditerranée cette fois. Si aucun gyre permanent n'y existe, des tourbillons ponctuels et les importants rejets des Etats côtiers entraînent aussi une accumulation de détritus. En 2010, l'expédition MED (Méditerranée en danger) évalue à une moyenne de 115 000 particules par km2 les déchets qui contaminent la mer. "Là encore, le poids total de ces plastiques est moins impressionnant : 600 tonnes, à raison d'une moyenne de 1,8 mg par déchet. Mais le risque, c'est de voir ces quantités augmenter considérablement avec le temps, la Méditerranée étant quasi-fermée", explique François Galgani.

AGGRAVATION DU PROBLÈME

Les déchets qui peuplent les océans proviennent en effet à 80 % des terres, portés par le vent ou les rivières – le reste tombant des navires de commerce. Jusqu'alors, les débris flottants étaient détruits par les micro-organismes, mais cela n'est plus le cas avec l'arrivée des plastiques, essentiellement du polyéthylène, du polypropylène et du PET, qui constituent 90 % des déchets maritimes. Or, ces quantités ne cessent d'augmenter. On estime que 300 millions de tonnes de plastique sont produites chaque année dans le monde, dont près de 10 % finissent dans les océans. Le modèle ci-dessous, réalisé par le site de rercherche 5gyres, montre que la concentration de déchets va aller grandissante au cours de la décennie :

Une preuvede cette aggravation du phénomène vient d'être apportée par une nouvelle étude de l'université de Californie à San Diego, publiée mercredi 9 mai par la revue Biology Letters de la Royal Society britannique. Selon les chercheurs, la concentration de microplastiques a été multipliée par cent au cours des quarante dernières années dans le gyre subtropical du Pacifique nord.

Or, ces plastiques mettent des centaines d'années à se dégrader. Et si la lumière du soleil photodégrade quelque peu les chaînes des polymères plastiques, en les fractionnant en morceaux, ce phénomène ne fait en réalité qu'empirer les choses. Devenu plus petit, le plastique constitue une grave menace pour la biodiversité : il peut ainsi être ingéré par les poissons, oiseaux et autres organismes marins, suscitant blessures et étouffements. Sans compter que ces déchets génèrent des substances toxiques dans les océans et peuvent créer un déséquilibre des écosystèmes.

Lire : "Les plastiques, des déchets néfastes pour les écosystèmes"

Que faire contre ces poubelles flottantes ? Si des opérations de nettoyage des gyres ont déjà été entreprises ou sont à l'étude, comme le projet américain Kaisei, la tâche paraît titanesque étant donné l'ampleur des zones contaminées et le nombre de micro-fragments. D'autant que ces déchets se trouvant essentiellement hors des eaux nationales et des Zones économiques exclusives, aucun Etat ne veut en assumer la responsabilité ni le coût.

"Le plus accessible serait de se concentrer sur le nettoyage des canaux et rivières qui débouchent dans les océans, ainsi que les plages, afin de prévenir une accumulation de déchets plus au large et en profondeur, explique Marieta Francis, directrice exécutive de l'Algalita Marine Research Foundation. Mais l'essentiel est surtout de réduire la quantité de déchets produite, en limitant la consommation d'emballages, en les recyclant et les réutilisant au maximum et en recherchant d'autres alternatives, comme des plastiques biodégradables ou compostables, du papier ou de l'aluminium."

Audrey Garric

12 juin 2013

A toi d'interpréter ce que tu voi

2 juin 2013

URGENT POLLINIS pétition a signer

Madame, Monsieur,

Une gigantesque escroquerie est en train de se mettre en place à Bruxelles, aux dépens des abeilles, de la biodiversité... et de tous les citoyens qui se battent depuis des années pour faire interdire les pesticides « tueurs d'abeilles » en Europe et dans le monde !

Nous devons la stopper net, avant qu'elle n'ait des conséquences dramatiques sur nos cultures et notre alimentation à l'avenir. Je vous demande de signer de toute urgence la pétition européenne ci-jointe et de la faire circuler autour de vous autant que vous le pourrez.

Il n'y a pas un instant à perdre.

Après des années de lutte acharnée des citoyens et des apiculteurs, la Commission européenne s'est officiellement décidé à interdire 3 pesticides néonicotinoïdes extrêmement dangereux pour les abeilles (1).

Les associations ont crié victoire et baissé la garde. Pourtant...

Le compromis que devrait adopter Bruxelles est en réalité un plan désastreux imposé par les multinationales agrochimiques comme Bayer, Syngenta et compagnie, qui mènent depuis des mois un lobbying effrené et extrêmement agressif pour arriver à ce résultat (2).

Objectif : Contrer la volonté des citoyens européens et empêcher l'interdiction REELLE des pesticides tueurs-d'abeilles – malgré les recommandations expresses des autorités sanitaires françaises et européennes (3)... Pour sécuriser les centaines de millions d'euros de profit annuel que ces produits rapportent aux grosses firmes qui les produisent !

Officiellement, les 3 pesticides les plus dangereux seront interdits pour une durée-test de deux ans à l'issue de laquelle les autorités sanitaires contrôleront si l'interdiction a mis un terme au massacre des abeilles, et s'il faut ou non interdire définitivement les néonicotinoides.

Or, cette soi-disant interdiction n'aura aucun effet sur la santé des abeilles !

En fait, les 3 pesticides tueurs-d'abeilles seront interdits seulement quelques mois par an... et largement utilisés tout le reste de l'année – sur près de 85% des céréales, et sur une grande partie des cultures de fruits, légumes et herbes aromatiques – empoisonnant largement les sols et l'eau absorbés ensuite par les cultures soi-disant « non-traitées ».

De nombreuses études ont montré que ces substances ultra-toxiques peuvent rester présentes dans le sol jusqu'à trois ans après le traitement (4), et que les cultures non-traitées replantées sur le même terrain révèlent des traces de néonicotinoïdes jusque dans leur pollen... que viennent ensuite butiner les abeilles ! (5)

A la fin de la période-test de deux ans, les multinationales pourront prouver que les abeilles continuent d'être décimées malgré la soi-disant interdiction de leurs produits, et qu'ils n'y sont pour rien. Ils auront réussi à blanchir leurs pesticides et à maintenir leurs profits – et pour longtemps !

C'est un plan diabolique, qui nous promet un désastre environnemental sans précédent.

Nous pouvons encore empêcher ça. MAIS IL FAUT AGIR VITE : d'ici quelques jours, la Commission européenne se prononcera sur sa version définitive du règlement européen concernant ces 3 pesticides tueurs d'abeilles.

Nous devons agir avant, pour exiger l'interdiction REELLE de ces pesticides ! Signez dès maintenant la pétition européenne pour contrer les lobbys en cliquant ici !

Si nous ne faisons rien, voici ce qui va se passer dans les 2 prochaines années :

- les pesticides néonicotinoïdes continueront à être utilisés pour les cultures d'hiver, imprégnant ainsi durablement les sols et l'eau...

- les cultures de printemps et d'été "non traitées" seront infectées par les résidus de ces pesticides, et empoisonneront les abeilles...

- la mortalité massive des abeilles ne déclinera pas, malgré la soi-disant "interdiction" des néonicotinoïdes

- Syngenta, Monsanto, Bayer et tous les laboratoires agrochimiques pourront à loisir clamer que leurs produits n'ont rien à voir avec la mortalité des abeilles, et obtenir leur réhabilitation totale sur le marché.

Et là, il ne nous restera plus que nos yeux pour pleurer…

Il faut tuer dans l'œuf ce plan démoniaque, et exiger de la Commission européenne qu'elle interdise purement et simplement ces pesticides tueurs d'abeilles, comme elle prétend le faire d'ailleurs !

Pas de compromissions, pas de petits arrangements... Si l'on doit faire un test de 2 ans pour évaluer réellement l'impact de ces pesticides sur les pollinisateurs, alors allons-y franchement !

Les agriculteurs eux-mêmes n'auraient pas à y perdre :

d'après l'INRA, on pourrait réduire rapidement la consommation de pesticides en France de 30 à 40 % – sans aucune perte de revenus pour les agriculteurs – en revenant simplement à un système de rotation des cultures qui permettrait de combattre efficacement les parasites en réduisant durablement l'usage des traitements chimiques (6).

Ca représente tout de même, pour la France uniquement, plus de 20 000 tonnes de substances ultra-toxiques déversés chaque année en pure perte dans nos campagnes !

En fait, les seuls qui seraient ébranlés, ce seraient les chiffres d'affaires des géants de l'agrochimie... Mais la Nature n'a que faire de leurs profits !

Alors s'il vous plaît, aidez Pollinis à créer une véritable onde de choc à travers le pays et l'Europe toute entière, pour que notre pression sur la Commission européenne soit plus forte que celle des lobbys agrochimistes qui sacrifieraient sans vergogne votre santé, votre alimentation et l'avenir même de la Nature pour satisfaire à leurs profits immédiats.

Signez la pétition, et transmettez cet email à un maximum de personnes autour de vous.

D'avance, merci !

 

Nicolas Laarman
Délégué général Pollinis
Conservatoire des Fermes et de la Nature

 

Pour en savoir plus :

1- Le texte de la Commission européenne interdisant 3 néonicotinoïdes :

http://www.pollinis.org/IMG/doc/regulation_commission_europeenne_interdiction_3_neonicotinoides.doc

2- L'excellent rapport de Corporate Union Observatory sur le sujet (en anglais) :

http://corporateeurope.org/publications/pesticides-against-pollinators

Ou ici en français, le bon petit résumé publié en ligne dans le Journal de l'environnement :

http://www.journaldelenvironnement.net/article/comment-le-lobby-des-pesticides-se-bat-pour-les-neonicotinoides,34147

3- Début 2013, l'Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) a publié un rapport confirmant que les néonicotinoides présentent un risque important pour les abeilles et les pollinisateurs :

http://www.efsa.europa.eu/en/press/news/130116.htm?utm_source=homepage&utm_medium=infocus&utm_campai gn=beehealth

4 -Les néonicotinoides persistent dans l'environnement, la demi-vie de la clothianidine dans le sol a été mesurée à 148 à 6900 jours par l'Agence de protection de la santé américaine :

http://www.epa.gov/pesticides/chem_search/cleared_reviews/csr_PC-044309_2-Nov-10_b.pdf

Voir aussi l'étude de J. DeCant et M. Barrett publiée en 2010 dans la revue Environmental Protection (pp. 1-99) : Environmental Fate and Ecological Risk Assessment for the Registration of CLOTHIANIDIN for Use as a Seed Treatment on Mustard Seed (Oilseed and Condiment) and Cotton.

5- La persistance des néonicotinoïdes contamine l'environnement au sens large, notamment le pollen.

L'imidaclopride par exemple peut être absorbée par des cultures non-traitées, jusqu'à deux ans après la première utilisation, et peut se retrouver dans le pollen et le nectar des fleurs non traitées à des niveaux toxiques pour les abeilles :

Bonmatin, J. M., et al . (2003) A sensitive LC/APCI/MS/MS method for analysis of imidacloprid in soils, in plants and in pollens. Anal. Chem. 75 (9), 2027-2033.

En 2002 et 2003, 69,1% du pollen récolté par les abeilles de 25 ruchers dans cinq départements français, sur des plantes traitées et non traitées étaient contaminés par de l’imidacloprid, bien que cette neurotoxine ait été interdite à l'utilisation sur le tournesol en janvier 1999 :

Chauzat M.P. et al (2006). A survey pesticides residues in pollen loads collected by honey bees in France. Journal of Economic Entomology, 99:253-262

6- Rapport Ecophyto R&D de l'INRA : « Réduire l'usage des pesticides » :

http://institut.inra.fr/Missions/Eclairer-decisions/Etudes/Toutes-les-actualites/Ecophyto-R-D

  

Pollinis – Réseau des Conservatoires Abeilles et Pollinisateurs
Association Loi 1901 Conservatoire des Fermes et de la Nature
143 avenue Parmentier – 75010 Paris www.pollinis.org

  

Soutenez le réseau Pollinis !
Aidez-nous à sauver les abeilles et la biodiversité. Nous sommes entièrement financés par les dons et nous ne recevons aucune subvention de la part du gouvernement. Notre équipe fait en sorte que le plus petit don soit le plus efficace possible.   Aidez-nous
Publicité
21 mai 2013

LES DANGERS DU NUCLEAIRE (on nous cache trop de choses).

autre video ,débat sur le démantèlement du parc nucléaire français, documentaire ARTE le 21/05/2013 a 20h55, a voir.
21 mai 2013

LA REVOLUTION

21 mai 2013

TEsT Nucléaire : les secret des atolls

A voir aujourd'hui le 28 04 2013 sur la chaine Public Sénat chaine 13 la parlementaire a partir de 18h00 le nucléaire sur les atolls de mururoa et fangataufa

21 mai 2013

LA PLUS BELLE CHAINE HUMAINE (SOURCE Linternaute)

Samedi 11 mai 2013, 21h20


Les organisateurs de la chaîne humaine géante qui a encerclé samedi sur 25 km le site du futur aéroport à Notre-Dame-des-Landes, auquel ils s'opposent, ont affirmé avoir réussi leur pari en réunissant suffisamment de personnes, venues de toute la France, pour boucler la chaîne.

Néanmoins les estimations restaient très divergentes, entre la préfecture de Loire-Atlantique qui affirme que les manifestants n'étaient que 12.000 et que la chaîne n'était pas tout à fait complète, et les organisateurs estimant qu'il y avait de quoi faire "une chaîne et demie", soit 40.000 personnes.

Une photo aérienne de la chaîne humaine de Notre-Dame-des-Landes, le 11 mai 2013 (Photo Jean-Sebastien Evrard/AFP)

Un écart d'estimation similaire à celui observé le 17 novembre lors d'une importante manifestation d'opposants évalués à 13.500 personnes selon la préfecture tandis que les organisateurs se comptaient 40.000.

Un photographe et une vidéaste de l'AFP, qui ont survolé la zone en hélicoptère, ont constaté de visu que la chaîne, bien qu'incomplète sur certains brefs tronçons, comptait deux à trois rangs d'épaisseur à d'autres endroits.

"C'est une victoire de la mobilisation citoyenne", a souligné sur place Jean-Philippe Magnen, porte-parole d'Europe-Écologie-Les Verts (EELV), venu participer à la chaîne avec les principaux dirigeants d'EELV.

Des opposants se réclamant pour la plupart des plus de 200 comités anti Notre-Dame-des-Landes de toute la France avaient fait le déplacement en famille, en voiture ou en autocar, mais aussi en vélo pour certains Nantais, Bretons ou Vendéens.

Des habitants de Béziers, de Lille ou du Languedoc ont passé la nuit sur les routes pour arriver à temps. Des retraités en tenue de randonnée mais aussi des familles entières avec de jeunes enfants étaient présents, munis de drapeaux à l'effigie du mouvement d'opposition, un avion barré de rouge.

"Ce que nous voulons c'est l'arrêt de ce projet"

Une photo aérienne de la chaîne humaine de Notre-Dame-des-Landes, le 11 mai 2013 (Photo Jean-Sebastien Evrard/AFP)

Venus de Savoie, Yves, Serge et Marc, ont traversé la France en autocar dans la nuit. "Chez nous il y a le projet de tunnel Lyon-Turin, dix fois pire financièrement encore que cet aéroport", soulignent-ils. "Moi je me bats pour mes petits-enfants", ajoute Yves, bras tendus, donnant la main à ses deux collègues alors que la chaîne se forme.

Une famille avec deux enfants dont un petit bébé de trois semaines pique-niquait peu avant sur la route. "Nous sommes agriculteurs près de Rennes, ce projet va encore détruire des terres agricoles", soulignent Stéphanie et Cyril, la trentaine.

Non loin, c'est un élégant sexagénaire britannique qui a traversé la Manche pour passer son samedi sur la "Zad", zone d'aménagement différé dédiée au projet d'aéroport.

John Stewart, originaire de Londres, explique: "En 2008, les gens de Notre-Dame-des-Landes sont venus nous aider lorsque nous nous battions contre le projet de troisième piste à l'aéroport d'Heathrow". "Ce projet a été abandonné en 2010, c'est normal que je sois ici aujourd'hui", ajoute M. Steward.

"Le projet n'est pas abandonné: ce que nous voulons c'est l'arrêt de ce projet", a souligné sur place l'ancienne candidate à la présidentielle d'EELV Eva Joly.

"Nous avons bien conscience que les porteurs du projet n'ont pas l'intention d'abandonner et que leur stratégie est l'enlisement", a pour sa part déclaré une des opposantes historiques, Françoise Verchère, conseillère générale (Parti de gauche) et présidente du Cedpa (élus doutant de la pertinence de l'aéroport).

Sur le côté de la route, une large banderole dénonçait: "Notre Dame d'Hollande, Ayrault port du délire", visant autant le président de la République que son Premier ministre, ancien député-maire de Nantes où il était l'un des porteurs du projet .

Au terme des conclusions de trois rapports gouvernementaux sur le projet rendus à la mi-avril, le principe du transfert de l'aéroport a été réaffirmé mais il a de grandes chances d'être repoussé au-delà de la date d'inauguration prévue de 2017 du fait des modifications demandées.

Le projet prévoit le transfert de l'actuel aéroport de Nantes, situé au sud de l'agglomération, à Notre-Dame-des-Landes, commune située à quelque 30 km au nord.

23 avril 2013

la sérénité

 

 

bouddha-geant-4_fs

 

Quel que soit le nombre de saintes paroles que vous lisez, que vous prononcez, quel bien vous feront-elles si vos actes ne s'y conforment pas ?

Il y a plus de larmes versées sur la terre qu'il n'y a d'eau dans l'océan.

 

Le monde est aveugle. Rares sont ceux qui voient.

Une conscience troublée par les désirs ne peut se libérer ; et une sagesse troublée par l'ignorance ne peut se développer.

 

On ne diminue pas le bonheur en le partageant

 

Deux choses participent de la connaissance : le silence tranquille et l'intériorité.

 

Soyez à vous-mêmes votre propre refuge. Soyez à vous-mêmes votre propre lumière.

Publicité
1 2 3 > >>
être libre ou se sentir libre
  • être libre ??? vous êtes vous déjà posés la question? moi je rêve, ce qui me permet de m'imaginer un monde meilleur. Ne dit t-on pas," tant que les gens continuerons de rêver, il existera toujours la liberté".
  • Accueil du blog
  • Créer un blog avec CanalBlog
Publicité
Archives
Publicité